Chaque consommation de cet aliment réduit votre espérance de vie de 36 minutes!
Image d'illustration. Gros plan d un délicieux hot dog avec moutarde et ketchup sur une table de pique nique en boisADN
Chaque fois que vous mangez cet aliment, vous réduisez votre espérance de vie de 36 minutes, une véritable alarme pour votre santé!
Tl;dr
- Les aliments ultra-transformés réduisent considérablement l’espérance de vie.
- Une forte consommation d’aliments ultra-transformés est associée à une mortalité plus élevée.
- Les viandes transformées et les boissons gazeuses sont fortement liées à la mortalité.
Les dangers des aliments ultra-transformés
Une étude récente met en lumière l’impact alarmant des aliments ultra-transformés sur la durée de vie. En effet, ces aliments omniprésents dans notre quotidien pourraient coûter de précieuses minutes de vie.
En fonction de leur nature, l’impact varie : un hot-dog pourrait réduire l’espérance de vie de 36 minutes, tandis que les boissons gazeuses, qu’elles soient sucrées ou non, voleraient 12 minutes.
Le lien entre aliments ultra-transformés et mortalité
Les chercheurs ont également mis en évidence un lien fort entre la consommation de viandes transformées et de boissons gazeuses et une mortalité accrue. Dans notre monde effréné, où la quête de réussite nous entraîne souvent à négliger notre alimentation, la consommation de repas prêts à consommer accompagnés d’une boisson gazeuse peut sembler une solution pratique. Pourtant, ces choix alimentaires peuvent avoir des conséquences graves.
Le coût de la malbouffe
Selon le nutritionniste Luis Zamora, chaque hot-dog consommé réduirait l’espérance de vie de 36 minutes en moyenne. Il a également cité une autre étude indiquant que les boissons gazeuses, même celles sans sucre, voleraient 12 minutes de vie.
D’autres aliments populaires tels que les cheeseburgers et le bacon auraient également un impact négatif sur la durée de vie, enlevant respectivement 9 et 6 minutes par portion consommée.
Les résultats de l’étude
Les résultats de cette étude, menée par Erikka Loftfield et son équipe de l’Institut national du cancer, ont retenu l’attention lors de Nutrition 2024, le sommet annuel de l’American Society for Nutrition. Ils ont analysé les données de plus de 540 000 personnes âgées de 50 à 71 ans au milieu des années 1990, dont plus de la moitié sont maintenant décédées. « Notre étude confirme un large corpus de littérature, incluant des études observationnelles et expérimentales, qui indique que la consommation d’aliments ultra-transformés a un impact négatif sur la santé et la longévité », a déclaré Erikka Loftfield.
L’étude a également souligné que les personnes âgées consommant de grandes quantités d’aliments ultra-transformés étaient environ 10% plus susceptibles de mourir sur une période de suivi médian de 23 ans par rapport à celles qui consommaient moins d’aliments transformés.