Entendre qu’on doit se faire opérer ne figure pas généralement dans le tableau des bonnes nouvelles. Toutefois s’il convient à la mère de délivrer son enfant ainsi, elle choisira de s’exposer à une chirurgie médicale.
Que faut-il comprendre par césarienne ?
C’est une chirurgie pour faire naître un petit lorsque l’accouchement ordinaire montre des risques pour l’enfant, pour la mère ou pour les deux à la fois. De mauvais effarements surgiraient au moment d’un accouchement à voie basse qui va immédiatement se renverser en une opération d’urgence. En France une femme sur cinq est césarisée en raison d’une hypertension artérielle, d’un placenta prævia ou d’autres causes.
Généralement, les obstétriciens et son équipe maîtrisent bien cet acte qui a pour objet d’extraire le bébé de l’utérus par le biais d’une péridurale et par une petite entaille sur le ventre de la future maman. Il faut quand même être avisé de quelques effets secondaires comme dans toute intervention chirurgicale si on ne mentionnait qu’une détresse respiratoire transitoire de bébé et une phlébite pour maman.
Pourquoi choisir la césarienne de convenance ?
Même hormis des problèmes de santé de la future mère et du bébé et que l’accouchement naturel est bien envisageable, certaines femmes choisissent de donner naissance à l’aide d’une chirurgie.
La date de l’accouchement est convenue à l’avance
Eh, oui ! Vous pouvez choisir l’anniversaire du prochain né, car une date sera fixée après une entrevue avec l’obstétricien. La peur que les terribles contractions ne vous attaquent devrait se calmer.
Aussi, vous disposerez du temps pour demander à ce qu’on vous aide à finaliser la préparation de la chambre pour bébé et la petite fête que vous voulez pour souhaiter la bienvenue au nouveau petit membre de la famille. Appelez vite fait votre médecin pour un rendez-vous en vue d’une tète à tête pour le choix de cette option.
Un grand confort
Écartez les surprises et la violence du hasard en optant pour une césarienne à la demande. L’arrivée des premières contractions et la perte des eaux pourraient choquer celle qui porte une vie en elle.
Une préparation psychologique est bien réalisable quand on sait quand tout cela aura lieu. La douleur que nos grands-mères surnomment le « joli mal » n’est pas au rendez-vous donc une atmosphère de joie s’installe en attendant avec impatience la venue du petit bout.