Il y a très peu d’égalité face à la belle-famille. Ni tout blanc, ni tout noir, la réalité est parfois teintée de nuances de gris, et on peut se retrouver face à une belle-famille plus ou moins difficile à vivre.
Comment faire si votre belle-famille est difficile ?
De nombreuses personnes se posent cette question, en se demandant également si elles ne sont pas elles-mêmes en pleine crise de paranoïa. Il n’est pas rare que les membres de la belle-famille rejettent les torts sur leur bru ou leur gendre pour éviter de se retrouver confronté à leurs propres défauts.
Rester soudé avec votre conjoint, leur enfant
C’est la règle numéro 1. Pour pouvoir vivre une relation saine avec votre belle-famille, il vous faudra commencer par résoudre les conflits en interne avec votre conjoint, qui n’est autre que leur enfant. Ne le mettez surtout jamais dans une situation où il ou elle devra choisir entre sa famille et vous. Essayez plutôt de comprendre le lien qui le ou la lie à ses parents, ses grands-parents et ses frères et sœurs. Si vous y arrivez, offrez-leur tout votre soutien. Même si la famille de votre moitié vous rend chèvre, rappelez-vous que c’est quand même sa famille.
Poser des limites
Qu’il s’agisse de vos enfants ou de tout autre aspect de votre vie, convenez de limites claires avec votre conjoint. Pas de sucreries avant de dormir, extinction des lumières, couvre-feu, etc. Posez des limites saines ensemble, établissez les valeurs de votre famille et n’hésitez pas à en parler à vos familles respectives. De la même manière, ne faites pas de promesse que vous ne sauriez tenir.
Communiquer pour résoudre les conflits
Communiquer de manière directe et sans intermédiaire – mais avec témoins – est la meilleure manière de résoudre les conflits. Si quelque chose vous travaille, adressez le problème aussi vite que possible en parlant directement à la personne concernée, en présence de votre moitié, par exemple. Parfois, il y a réellement un problème, tandis qu’à d’autres moments un simple malentendu peut être à l’origine de discordes.
Garder la tête sur les épaules
Ne vous faites pas de scénarios, et n’ayez pas trop d’attentes pour ne pas être déçu. Ce ne sont pas toutes les grand-mères qui font des cookies avec leurs petits-enfants, et tous les beaux-pères ne sont pas des fanas de plomberie. Acceptez la réalité comme elle est, sans vouloir la changer, et concentrez-vous sur ce que vous pouvez apporter de bon.
Garder le sang-froid et le sens de l’humour
De par leur âge et par leur vécu, les beaux-parents peuvent donner l’impression d’avoir un avis assez inflexible sur tous les sujets. Plutôt que de vouloir leur faire entendre raison à chaque fois, il est parfois préférable de laisser glisser certaines choses pour éviter trop de confrontations inutiles. Gardez simplement ce qui se dit en tête, et discutez-en avec votre conjoint calmement en aparté. Il y a de fortes chances que votre conjoint pense comme vous, mais qu’il ait abandonné l’idée d’avoir raison avec ses parents.